samedi 10 mars 2018

4

Ainsi en emporte ce temps qui n'existait pas. Le temps. Le temps ce référentiel commun d'un futur déjà présent et si vite passé, le changement s’intégrant par l'absurde. Doutez-vous que les chemins qu'arpente la causalité seront selon les caprices de la nécessité une ligne droite pouvant être ronde. 

Comment? Quelle idée sotte!

Perdu, dubitatif? Ne craignez rien, courage, et essayons de mieux vendre notre affaire, et pour se faire, affairons nous a imiter la phénoménologie de l'ivrogne.
L’être est. Le non-être n'est pas.
Pour le coup, excusez moi, mais, ceci en opposition même d'avec celle-la, tout ceci n'a rien a voir avec la suite de notre histoire.

Reprenons, deux fois
J'ai dis que le temps existait et qu'il n'était pas l espace.
J'ai dis que le temps existait et qu'il n'était pas l espace. 

3

Je ne joue pas sur les mots. Je ne me moque pas de vous. Un couple indépassable, danse une leçon magistrale: la matière ordonne a l'espace-temps comment se courber lequel lui commande le bon ordre de ses mouvements.

Vous l'aviez deviné, je ne l'avais certainement pas inventé, c’était le sujet a la radio.

Comprendre cet ordre des choses m’était impossible. Je décida dans l'instant, de le vivre. D'erreur en désespoir, j'en arriva, brusquement, a la conclusion qu'il me faudrait, en toute logique, tordre ma conscience pour infliger a ma raison les sévisses de cette connaissance.

Ce fut.

Ce fut comme vous l'aviez parfaitement anticipé, absolument brillant. Brillant comme dans son champs lexical.

Bref. Sus a la digression, me voila partir pour agir.


La mort n’étant pas devant mais, plutôt, derrière nous, a bien y réfléchir.


2

Reprenons.
Il ne faisait ni chaud, ni froid. Il faisait tiède, même si j'aurai bien apprécié qu'il en soit autrement.
En ce temps passe, mon sentiment était qu'une telle épopée méritait mieux, du dramatique bon Dieu, un commencement délicat et surtout de la fesse empreint de délicatesse. Et bien Non! Et c’était justice car l'air n'était ni humide, ni sec, mais entre les deux selon la version. Une émission de radio, culturelle, jouait sur le mobile en connexion bluetooth avec la voiture. Cette voiture, c’était une Camery de Toyota, grise comme le ciel, avec un par-choc arrière tout croche. La conduite était souple, en raison des limites de vitesse et des caisses de l’état qui étaient vides, corollaire social de l'aire de la femme. L'affluence était normale, c'est a dire que les distances de sécurité réglementaires n’étaient pas respectées. Par la fenêtre, de chaque cotés, rien d’intéressant. Des arbres, du chien a dent laissé a l'abandon, un fossé avec de l'eau dedans, des joncs. Dans ce référentiel de petite cylindrée fuyant ennuyeusement le césium rythmait dans son allégresse coutumière, le temps du changement et l'espace se désintégrant selon un certain humour atomique. Un vrai quantique.

Et pourtant, le temps n'existe pas. Oui, le temps n'existe pas!

jeudi 17 août 2017

1

Ici.  Maintenant. J'y suis. Éperdument.
Journées épiques, détails insignifiants, peu m'importe dorénavant.
La fortune ne bâtit jamais d'oeuvre, mais les réduit inexorablement.
Et pourtant. Mais pourtant, si accessoire, la voila qui accouche habillement de sa plus belle histoire.

Tout commence par un beau matin d’été car il n'a plus de saison, madame.
Tout commence par un malin avoir été, sans raison mais avec vacarme!

Big Bang, s'écriait-il! Et le grand boum fume.

dimanche 25 décembre 2016

Echec

Non vraiment pas a soir,
Plutot vide la musette,
Nope rien dans la tete,
bon an, mal an, bonsoir,


samedi 24 décembre 2016